Le journal de Bridget Jones ▬ Helen Fielding

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Bridget a presque trente ans et n’est pas mariée. Entre une mère égoïste et des amis plus ou moins en couple, elle cherche le prince charmant qui changera sa vie, son regard sur elle-même et sur le monde.

Comment s’y prendre avec les hommes? Par où commencer? Avec un humour décapant, Helen Fielding trace le portrait d’une génération de femmes socialement responsables, financièrement autonomes, mais effectivement… frustrées! Une comédie sentimentale, ironique et tendre.

 

 

 

 

 

 

 

☆☆

 

 

••• First impressions

Bridget Jones est un personnage que j’ai découvert au cinéma, il y a quelques années. J’avais adoré ce film et dès la sortie du DVD, il avait rejoins ma DVDtèque.  Et c’est en regardant les bonus du premier film que j’ai su qu’il était tiré d’un livre. J’avais toujours dis que je le lirais, sans jamais prendre le temps de l’acheter.

Il a rejoins ma PAL en début d’année et avec Bookinwoman, nous avons décidées d’en faire une lecture commune Clignement d'œil

 

 

••• Ce que j’en pense

▬  Tout commence par une liste de bonnes résolutions du nouvel an , où Bridget Jones tente de classer toutes les choses à proscrire dans sa vie, ou au contraire, à faire durant l’année à venir. La liste est longue, une trentaine de points sont énumérés et cela nous permets d’avoir une ébauche rapide du personnage que l’on va suivre. Car oui, c’est Bridget Jones que l’on suit, au travers de son journal intime.

▬ On tourne les pages du bouquin comme on feuillèterais le journal de l’héroïne. Chaque chapitre correspondant aux mois de l’année, et renfermant plusieurs billets datés. C’est comme si on lisait par dessus l’épaule de Bridget Jones alors qu’elle jette sur papier toutes ses mésaventures et les aléas de sa vie.

On entre dans l’intimité de la future trentenaire et nous en apprenons beaucoup sur sa vie, sa famille, ses amis, son boulot et surtout sur ses amours.  Dans ce journal, elle tiens même des comptes: poids, nombre de cigarettes ou de vers d’alcool bu dans la journée, allant même jusqu’à compter le nombre de pensées négatives qui la traverse ou le nombre de minutes qu’elle passe à consulter un magazine de voyage. C’est totalement loufoque mais jamais too-much.

▬ Ce qui est intéressant et  qui mets pas mal de rythme à cette lecture, c’est la façon dont est écrit le roman. Brigdet est la reine des listes, et son journal n’échappe pas à ce mode de rédaction bien particulier. C’est une écriture très hachurée, qui va droit au but, les sujets des phrases sont parfois laissé de côté, tout comme le schéma grammaticale courant: sujet-verbe-complément.

On lit une succession de faits et gestes, de pensées. L’essentiel de la vie de Bridget est condensé pour n’en garder que le meilleur (ou le pire).

▬ Ce roman de chick-lit est le tout premier du genre. Humour et dérision, agrémentant les thèmes classiques de la Chick-lit: une jeune citadine d’une trentaine d’années, s’ennuyant dans son travail, qui recherche l’homme de sa vie, le tout flanquée d’une bande d’amies déjantés et d’une famille étouffante (le rôle est souvent attribuée à la mère) et qui noie son anxiété en ayant un comportement compulsif, addictif…

▬  Parlons plus en détails de cette héroïne. Bridget est parano, obsédée, futile, gaffeuse, tête en l’air…. Elle se fait de gros films où Daniel, son patron, tient le rôle principal. Cet homme est un macho de première, doublé d’un  salopard – enfoiré affectif (c’est pas moi qui le dit, c’est les amies de Bridget ^^) mais Bridget s’y attache comme à une bouée de sauvetage, ou pour coller au personnage devrais-je dire: comme à un paquet de cigarettes. Puis il y a le brillant avocat Mark Darcy, froid et mystérieux.  Mais dans ce roman, nous rencontrons des personnages vraiment hors normes comme Pam, la mère de Bridget. Cette femme, envahissante au possible, semble vouloir vivre sa vie quitte à laisser mari et (grands) enfants de côté. Ou encore Perpetua, la collègue de Bridget, un brin tyrannique,  qui se prend pour sa supérieure et qui n’hésite pas à la rabaisser devant les autres.

Il y a tout un tas de personnages hauts en couleurs dans ce roman, on ne s’ennuie pas une minute dans l’entourage de Bridget.

▬ C’est le premier roman d’Helen Fielding que je lis et je m’attarderais surement sur la suite de ce bouquin. L’écriture de l’auteure est originale, son style est très agréable à lire et j’ai tout de suite adhéré à l’histoire et à l’humour très british de l’auteur.

▬ Le petit plus du bouquin, qui m’a totalement séduite, ce sont les allusions aux grandes auteures anglaises du XVIII & XIXème dont je raffole, Jane Austen en tête. Helen Fielding y fait référence à plusieurs reprise dans ce roman. Citant “Les Hauts de Hurlevent” d’Emily Brontë et surtout “Orgueil et Préjugés” de Jane Austen. Le roman est d’ailleurs une version moderne et décalée de ce fameux roman. C’est vraiment sympa de voir cette histoire transposée à notre époque, même si je préfère 100fois l’histoire d’Elisabeth Bennet et Mr Darcy (et non Mark Darcy ^^)

 

 

••• Conclusion

Lorsqu’on commence à lire Le journal de Bridget Jones, on aurait presque l’impression de jouer les espionnes (espions) et de fouiller dans la vie privée de Bridget, de lire son journal quoi ^^ Cette femme est à la fois hilarante et agaçante, loufoque à souhait. Juste pour lire les réflexions, ce “journal” doit être lu Sourire

 

Alors voici un extrait qui dépeint parfaitement qui est Bridget:

Les gens raisonnables diront que Daniel n’a qu’à me prendre comme je suis, mais je suis une enfant de la culture Cosmopolitan, traumatisée par les top models et les tests de personnalités. Je sais que, livrés à eux mêmes, ni ma tête ni mon corps ne sont à la hauteur. La pression est trop forte. Je vais annuler ce rendez-vous et passer la soirée à grignoter des chocolats, en vieux pull taché de jaune d’œuf.

 

 

 

> L’avis de Bookinwoman se trouve ici: Le journal de Bridget Jones

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La probabilité statistique de l’Amour au premier regard ▬ Jennifer E. Smith

La probabilité stastique de l'amour au premier regard

Hadley, une jeune fille de 17 ans, manque de 4 petites minutes son vol pour Londres. 4 minutes qui vont changer sa vie. Alors qu’elle doit se rendre au mariage de son père avec une femme qu’elle ne connait pas mais déteste déjà, Hadley se retrouve coincée dans un aéroport de New York pour attendre le prochain vol. Elle y rencontre Oliver, un Anglais faisant ses études aux États-Unis et qui prend le même avion qu’elle. Le charme opère immédiatement. Arrivés à la douane de Londres, chacun part de son côté. Mais le destin peut avoir plus d’un tour dans son ciel !

 

 

 

 

 

••• First impressions

L’un de mes objectifs pour 2012, était de participer aux partenariats mis en place sur le forum de Livraddict. Et c’est comme ça que ce livre a fait le voyage jusque dans ma PAL ^^

Plusieurs titres étaient proposés mais c’est le résumé de ce livre qui avait attiré mon attention. Mais également ce titre à rallonge qui sonnait très mathématique à mes oreilles. Et oui, étant issue d’une formation scientifique, lorsque j’entends Probabilité ou Statistique, ça fait remonter de bons (ou moins bons) souvenirs Sourire

J’ai donc postulé pour ce partenariat et j’ai été choisie!!!!

 

 

••• Ce que j’en pense

▬  Ce roman débute par un prologue qui débite une succession de “si” suivi de “mais” et de “peut-être”. Un enchainement de probabilités qui s’accord parfaitement avec le titre du livre et qui nous plonge dans le vif du sujet.

Qui aurait pu imaginer que quatre minutes allaient tout changer?

▬ Dans ce roman, nous suivons Haldey, qui s’apprête à prendre un avion pour Londres. Elle est loin d’être ravie de prendre ce vol pour l’Angleterre, où son père va se remarier. Mais le destin s’en mêle, lui faisant rater son vol pour quatre petites minutes.  Elle n’est pas très à l’aise dans ce hall remplit de monde, elle angoisse à l’idée d’arriver en retard pour ce mariage qui ne l’enchante guère, mais finalement elle dégote une place dans le prochain vol, et c’est trois heures d’attente qui l’attende. Trois heures d’attente qui passeront assez rapidement finalement, surtout lorsque Hadley fait la connaissance d’Oliver.

La rencontre entre Hadley et Oliver est le point de départ d’une longue journée, retracée au fil des 280 pages du bouquin. 280 pages où nous suivons les 2 personnages de New-York à Londres, où nous assistons à leur rencontre , toute simple, dans l’aéroport, puis à la naissance d’une relation dans le confort exigüe du cockpit d’un avion.

Le récit commence doucement, jusqu’à l’atterrissage de l’avion à Heathrow. Ensuite tout s’accélère et l’histoire devient passionnante. J’avais tellement envie de savoir ce qui allait se passer que j’ai lu les 150 dernières pages d’une traite!

Les personnages sont attachants, voila pourquoi il est difficile de refermer ce livre avant de savoir ce qui leur arrive. Hadley est une angoissée, une phobique de tellement de chose que cela en devient presque risible (vous avez peur de la mayo vous? ^^). Oliver, de son côté, est plutôt rationnel, assez sûr de lui, il a réponse à tout et Hadley est bonne cliente de son humour. On apprends à les connaitre en même temps qu’il en apprenne plus l’un sur l’autre.

Oliver est quelqu’un de secret, qui utilise l’humour pour éviter d’en dévoiler trop, et élude souvent les questions par ce biais. Au contraire d’Hadley, qui  parle de sa vie sans tabou, de la relation tendue qu’elle entretient avec son père, de sa future belle-mère qu’elle n’a jamais vu mais qu’elle déteste, de sa mère avec qui elle venait de se disputer juste avant de louper son avion… On sait quasiment tout de la vie d’Hadley, et quasiment rien de celle d’Oliver.

Puis autour de ce duo, gravite quelques personnages bien sympathiques, a commencer par Violette l’une des demoiselles d’honneur qui m’a bien fait rire. Il y a aussi le père d’Hadley qui m’a touché. Et puis il y a la nouvelle belle-mère qui est… chut, je vous laisse le découvrir par vous même ^^

Cette histoire est très intimiste, avec peu de personnages et c’est ce qui m’a plu.

▬  Parlons un peu de l’auteur Jennifer E. Smith. Je ne la connaissais pas mais je prendrais plaisir à découvrir ses autres livres (lorsqu’ils seront traduits en français Sourire ). J’ai apprécié le style d’écriture de l’auteur, c’est simple, facile à lire et j’ai vraiment adoré les descriptions concernant le ressenti d’Hadley. Les passages lorsqu’elle décrit l’angoisse de l’héroïne m’ont énormément parlés et j’avais l’impression d’enfin pouvoir lire et mettre des mots sur ce que je ressentais lorsque j’avais ce genre de crise d’angoisse.

J’ai également bien aimé la tournure des phrases et l’utilisation du présent pour raconter l’action et du passé pour faire intervenir les souvenirs d’Hadley, le fait d’alterner le temps du récit, donnait un petit plus à la lecture, tout comme les passages en italique. Le lecteur à un regard extérieur sur ce qui se passe, tout en pouvant “lire” dans les pensées d’Hadley et de partager ses souvenirs. On est totalement ancré dans le récit, on est au cœur de l’action et c’est ce qui donne tout le réalisme de l’histoire.

Car parfois cela pourrait paraitre un peu gros, certains passages – surtout à Londres – auraient pu me faire décrocher mais tout le travail fait avant par l’auteur, permets de resté scotché à l’histoire. D’ailleurs l’auteur n’hésite pas à qualifier certains évènements comme improbable… Mais pourtant, dans ce récit traitant des probabilités, on fini par adhérer à ces improbabilités ^^

En parlant de probabilités, je m’attendais à plus de mathématique dans cette histoire. Mais après le prologue, tout cet aspect mathématique est égrainé par endroit, comme ces quelques petites statistiques émises par Oliver. Mais bon, cela ne m’a pas manqué (et oui j’en ai manger des proba’ en S ^^ c’était même le sujet de mon oral de bac Surpris). En revanche, il y a beaucoup de référence au temps, à commencer par l’heure de New York & Londres, en début de chapitre. Cela ajoutait encore du réalisme au récit.

▬ Cette histoire aborde pas mal de sujets très intéressant, certains sont très légers et d’autres bien plus sérieux, voir carrément triste. C’est d’ailleurs l’un des aspects du livre que j’ai aimé. Toute l’histoire concernant Oliver à Londres m’a vraiment touchée. J’ai aimé la relation complexe qui unit Hadley et son père. J’ai bien aimé également la façon avec laquelle Hadley évolue.

 

 

••• Conclusion

Un livre à 2 doigts (ou à 4 minutes ^^)  d’être un coup de cœur… Je n’ai pas été vraiment surprise et c’est pour cela que je ne l’ai pas classer comme tel. La plupart du récit est prévisible et même si on se prend au jeu, comme la course-poursuite dans Londres, on sait à l’avance ce qui va se passer. Enfin moi j’avais vu tout de suite où voulait en venir l’auteur.

Mis à part cela, le reste du roman est vraiment très agréable. C’est une belle histoire d’amour naissante que je vous invite à découvrir. Mais c’est également l’histoire d’une jeune fille qui va devoir avancer et faire face aux aléas de la vie et de l’amour.

Comme je suis une scientifique dans l’âme, voici 2 extraits très mathématique pour illustré toutes les probabilités qui surviennent durant cette lecture:

A la seule idée que leurs chemins auraient tout aussi bien pu ne jamais se croiser, elle en a le souffle coupé. Comme quand on passe à ça d’un accident sur l’autoroute. Et elle ne peut que s’émerveiller de ce que toute cette histoire a de purement aléatoire. Comme tout survivant sauvé par un caprice du hasard, elle éprouve un brusque élan de gratitude, moitié montée d’adrénaline, moitié bouffée d’espoir.

On lui avait dit un jour, qu’on peut calculer le temps qu’il faut pour oublier quelqu’un : “C’est mathématique. La moitié du temps que vous avez passé ensemble.” Elle a quand même des doutes. Comment se fier à une formule aussi basique pour quelque chose d’aussi complexe qu’un chagrin d’amour?

 

 

Je remercie Livraddict et les Editions Hachette pour m’avoir permis de découvrir cette belle histoire.

 

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La valse lente des tortures ▬ Katherine Pancol

la valse lente des tortues PANCOL KATHERINE

Ce livre est une bourrasque de vie…

Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser.

Deux bras qui enlacent ou qui tuent.

Un homme inquiétant, mais si charmant.

Une femme qui tremble et espère ardemment…

Un homme qui ment si savamment.

Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour.

Des adolescents plus avertis que les grands…

Un homme qui joue les revenants.

Un père, là-haut dans les

étoiles,qui murmure à l’oreille de sa fille…

Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage.

Des personnages qui avancent obstinément…

Comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement, dans un monde trop rapide, trop violent…

 

 

••• First impressions

Après un premier tome génial, Joséphine & co’ me manquaient, voila pourquoi j’ai plongé dans ce second opus qui promettait une histoire palpitante…

 

••• Ce que j’en pense

▬  Quel plaisir de retrouver Joséphine!!! Qui avait tant évoluée dans Les yeux jaunes des Crocodiles. Quel plaisir de retrouver les autres personnages, et d’en découvrir de nouveaux. C’est comme si on les retrouvait  après des vacances, comme des voisins à qui l’on demanderait des nouvelles. J’ai vraiment adoré relire la plume de Katherine Pancol et me replonger dans la vie (extra)ordinaire de Joséphine.

▬   Au début de ce second opus, nous retrouvons Joséphine. La jeune veuve, ayant perdu son mari dévoré par des crocodiles, a quitté Courbevoie pour un quartier assez chic. Son livre ayant obtenu un grand succès, exit les problèmes d’argent et bonjour une nouvelle vie dans un immeuble de haut standing! Mais voila qu’elle retourne dans son ancien quartier pour aller chercher un colis en provenance du Kenya. Joséphine, retrouve dans son nouvel appartement sa fille Zoe… mais pas Hortense, qui est partie vivre à Londres, afin d’intégrer une école de stylisme. La plupart des protagonistes du premier tome sont partis en Angleterre: Philippe et son fils, Shirley, Gary. Mylène, amante d’Antoine, est partie de son côté en Chine! Seul Marcel et sa petite famille est resté en France, ainsi qu’Henriette, qui loin d’avoir digéré la nouvelle vie de Marcel, compte bien se venger. Et puis il y a Iris, qui séjourne dans une clinique afin de reposer ses pauvres nerfs meurtris… et surtout son égo!

▬   Joséphine et son amour du 12ème siècle, Joséphine et sa “panne d’inspiration”, Joséphine et le succès de son livre, Joséphine: Nouvelle riche…. Cette mère de famille, veuve, a bien du mal à gérer cette nouvelle vie, cette nouvelle liberté. Attachante, toujours un peu naïve, elle va devoir faire face à de nouvelles aventures. Une violente agression, qui aurait pu se terminer mal si Antoine – ou du moins sa chaussure – ne l’avait pas sauvé d’une lame aiguisée, va plonger Joséphine dans l’angoisse, mais va également la rendre un peu plus forte. Encore une fois son personnage va beaucoup évoluer au fil du roman.

▬   Dans ce deuxième tome, Katherine Pancol nous propose du surnaturel:  un peu déroutant, tout autant que certaines scènes un peu violentes… J’ai eu parfois un peu de mal à continuer ma lecture car ces éléments me semblaient parfois un peu gros… Mais bon, Joséphine est tellement attachante, et il lui arrive tellement de choses surprenante que ça passe.

▬   Les petits détails concernant les crocodiles et les tortues sont vraiment extra. Crocodiles qui nous ramènes au premier tome, alors qu’on comprenait le pourquoi des Crocodiles dans la deuxième partie du livre. Pour la Valse lente des tortues, il faudra attendre la dernière partie du bouquin pour enfin comprendre… ce qui ajoute encore une petite pointe de suspense. La fin du bouquin est vraiment riche en révélations. Il pourrait d’ailleurs s’arrêter là. On pourrait quitter ces personnages…. mais tellement de choses se sont passées, comment vont-ils appréhender l’avenir. Certains couples méritent qu’on les suivent. Et Joséphine va-t-elle écrire un autre bouquin?

▬   J’ai aimé resté pendant plusieurs paragraphes sur le personnage de Joséphine, et retrouver ensuite les autres protagonistes. On a un peu l’impression que les parties avec Joséphine sont là pour casser le rythme avant d’enchainer sur de nouvelles intrigues, de nouveaux rebondissements dès qu’un autre personnage vient se greffer à l’histoire.
           

 

 

••• Conclusion

J’ai aimé l’évolution d’Hortense que je ne pouvais pas sentir au début de la saga! Elle est devenue plus humaine, je trouve. Malgré une légère langueur dans la seconde partie et le fait que nous ne voyons pas beaucoup Shirley, j’ai tout de même adoré ce livre. Aussi bien, voir mieux que le premier, car Katherine Pancol nous plonge dans le suspens et les fausses pistes jusqu’à la fin du livre. J’ai hâte de lire le dernier opus de cette saga.

Ma vie était si simple, avant. Plus j’avance dans la vie, plus je la trouve compliquée. Peut-être qu’avant je ne vivais pas … 

 

Mon avis sur le premier tome:

Les yeux jaunes des crocodiles ▬ Katherine Pancol

..

 

 

Hunger Games, tome 2: L’embrasement ▬ Suzanne Collins

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Les Jeux continuent! Plus terribles que jamais…

Après le succès des derniers Hunger Games, le peuple de Panem est impatient de retrouver Katniss et Peeta pour la Tournée de la victoire. Mais pour Katniss, il s’agit surtout d’une tournée de la deuxième chance. Celle qui a osé défier le Capitole est devenue le symbole d’une rébellion qui pourrait bien embraser Panem. Si elle échoue à ramener le calme dans les districts, le président Snow n’hésitera pas à noyer dans le sang le feu de la révolte.

A l’aube des Jeux de l’Expiation, le piège du Capitole se referme sur Katniss…  

 

 

♥♥♥♥♥

 

 

 

••• First impressions

Après le premier tome qui m’avait fichue une sacrée claque, je n’avais qu’une hâte, pouvoir dévorer le second tome et retrouver Katniss & Peeta.

Mais je ne vous cache pas que j’appréhendais cette lecture. Allais-je ressentir le même frisson qu’avec le premier tome.

Est-ce que le coup de cœur continue avec ce second tome?

 

••• Ce que j’en pense

▬  Après avoir gagné  les Hunger Games, Katniss et Peeta retournent au district 12 en héros, entamant une tournée de la victoire dans les différents districts. Mais les choses ont changer,les règles ont été détournées par nos deux héros et cela n’a pas du tout plu au Capitole. Le président Snow pose un ultimatum à Katniss…

Qui d’autre échouerai-je à sauver de la vengeance du Capitole, qui d’autre mourra si je ne parviens pas à satisfaire le président Snow?

Dans le premier chapitre on retrouve Katniss, qui sera encore une fois notre guide tout au long du bouquin. Elle attend l’arrivée des journalistes et surtout de son équipe de préparation, qui vont la rendre toute jolie pour entamer la tournée de la victoire. Mais avant de replonger dans ce tourbillon médiatique, la jeune femme tente de profiter d’un dernier moment de communion avec la nature.

Quand elle retourne chez elle, au village des vainqueurs, elle retrouve Haymitch bourré comme un coing et Peeta, très distant depuis leur retour… Les jeux ont laissé des traces!

▬ L’Expiation… Un mot bien étrange qui fait froid dans le dos, mais que je vous laisserais découvrir. Sachez juste qu’une nouvelle session des Hunger Games débute. Les règles sont les même, le décor est différents mais tout aussi meurtrier, mais l’enjeu n’est pas du tout le même… On connait déjà les jeux, pas besoin de rappel, tout démarre assez vite. On découvre les nouvelles horreurs, la nouvelle arène et les “surprises” concoctées par les Juges et le Capitole.

Impossible de reposer ce roman, dès que les Jeux commence, on ne peut pas lâcher cette histoire et ses personnages. On frissonne, on a peur pour eux… Prise dans le jeu, j’ai même fait de suppositions concernant les futures épreuves du Capitole. Mais je suis toujours tombé à côté, c’est ce qui rendait cette lecture si addictive (encore!).

▬ L’Histoire, scindée en 3 partie,  est d’abord assez calme puis l’agitation arrive pour terminer dans le chaos le plus total. Le rythme va crescendo et l’on referme le bouquin plus frustré que jamais. Suzanne Collins joue les sadiques pour cette fin monumentale: un cliffhanger de folie quoi ^^

Certains passages passent très – trop – vite. Cela pourrait être dérangeant sur le coup mais, au contraire, ont est encore plus happée dans les Jeux. Cette précipitation ne fait que renfoncé l’urgence du récit. On a pas le temps de souffler, et encore moins l’envie de décrocher du roman!

▬  On en apprend un peu plus sur certains personnages rencontrés durant le premier tome.  On découvre de nouveaux visages, amis ou ennemis, qui ajoute un peu de fraicheur à la lecture. Katniss a beaucoup évolué durant le premier tome, tout comme Peeta , dans ce 2nd opus, l’évolution continue…

▬ Suzanne Collins gagne le pari de nous emporter toujours aussi loin dans l’émotion et dans l’addiction au livre. Un style toujours aussi fluide, des surprises tout au long de notre lecture pour nous déstabiliser et nous “obliger” à lire la suite.

 

Arriverais-je à résister à l’appel du 3ème tome qui est dans ma PAL?

 

 

••• Conclusion

Un deuxième tome pas moins bien, ni meilleur que le premier. Ca reste dans la continuité et j’ai ADORE!!!!!

Vous avez lu le premier tome? Bah alors qu’est ce que vous attendez pour vous plongez dans celui-ci!!!!! 

 

Qu’est ce que ça m’a fait plaisir de lire ces quelques lignes. Bon ça ne va surement pas vous surprendre si je vous dis que j’ai un petit faible pour le gentil & courageux Peeta. Et ce que dit Katniss lui rend justice, j’aime beaucoup ce passage:  

Quand je lui ai avoué que notre amour était un numéro destiné aux Jeux, Peeta l’a très mal pris, c’est vrai. Mais je ne lui en veux pas. Dans l’arène, j’ai joué à fond la carte du romantisme. Par moments, j’en suis même arrivée à douter de mes propres sentiments. C’est encore le cas d’ailleurs.

 

 

••• A savoir

L’adaptation ciné  du 2ème tome de la trilogie est prévue pour fin 2013 !!!!

 

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Du Livre au Film…

En faisant un petit bilan de toutes mes lectures, je me suis rendue compte que beaucoup des livres avaient été adaptés au cinéma.

Etant une grande amatrice de films, et ayant vu la plupart des adaptations ciné dont j’avais déjà lu l’original. J’ai donc décidé de créer une catégorie spécialement réservée aux livres adaptés au cinéma.

J’y ferai des comparaison entre le livre et le film. Parlerai des acteurs, des plans, des scènes, etc… Je deviendrai l’espace d’un article “Critique cinéma” et vous ferai part de mon avis.

Retranscrire un livre à l’écran n’est pas une chose simple, difficile de caser en 2 heures une histoire de 400 pages! La vision du cinéaste ne correspond pas forcément à notre vision du bouquin. Il y a plusieurs méthodes pour porter un roman à l’écran: l’adaptation fidèle, l’adaptation libre et la transposition.

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Quelles sont les adaptations que j’ai aimé? Quels films ai-je adoré et dont je n’ai pas aimé le livre? Quelles adaptations sont, pour-moi, incontournables?

Vous le saurez en découvrant mes prochains articles…

 


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